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Channel: Perles d'Orphée
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Et pourtant, infiniment… il chante !

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Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Et pourtant, infiniment… il chante !

« J’écris des morceaux de piano dans mes moments de loisirs … en fait, le piano ne m’intéresse pas parce qu’il ne peut pas chanter. »

Jean Sibélius (1865-1957)

Qui, après avoir écouté l’œuvre de Jean Sibelius pour le piano, pourrait accorder quelque crédit à ce propos tenu par le grand compositeur finlandais lui-même à son élève Bengt von Törne à la fin des années 1930 ? Sans doute était-ce pour lui…

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Le temps du lilas, ce bel infidèle !

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Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Le temps du lilas, ce bel infidèle !

[…]

Si brèves soient les amours de la jeunesse, si fugitif le printemps d’une vie, demeure, comme une empreinte de leur furtif passage, l’immense et profonde beauté du poème. Celui, peut-être, drapé dans les ondulations élégiaques d’une mélodie marine qu’un alizé lyrique ramène vers le rivage, le soir, à l’heure solitaire où l’âme caresse ses hiers.

[…]

Ernest Chausson (1855-1899)

Gérard Souzay interprète « Le temps des lilas », dernier volet du « Poème de l’amour et de la mer » composé par Chausson sur des poèmes de Maurice Bouchor.

Et Barbara y va de ses couplets sur le même thème…

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Là-haut, la poésie

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Vient de paraître sur « De braises et d’ombre » :

Là-haut, la poésie

Quelques remarques particulièrement autorisées sur le lien ambigu ou évident, selon la sensibilité de chacun, qu’entretient la poésie avec le divin.
A méditer entre deux éclairs… ou entre deux poèmes !

« Rien ne vaut d’être dit en poésie que l’indicible, c’est pourquoi l’on compte beaucoup sur… »

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Le bonheur et l’instant

L’avènement

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L’avènement

« Toute œuvre qui nous donne le sentiment de la qualité artistique relie aussi au monde les profondeurs qu’elle exprime ; toute œuvre qui nous atteint par là témoigne d’une part victorieuse de l’homme, fût-il un homme fasciné. »

Citation d’André Malraux tirée de « La monnaie de l’absolu » pour introduire un très beau poème de Borges : « L’avènement  »

Bison – Peinture rupestre – Grotte ornée d’Altamira

J’étais, je suis toujours, l’homme de la tribu.
L’aube approchait. Couché dans mon coin de caverne
je luttais pour plonger aux sombres eaux du rêve.
Des spectres d’animaux traînant des dards brisés
ajoutaient…

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Au pied du mur : la danseuse et le philosophe

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Au pied du mur : la danseuse et le philosophe

 

« […] il faut vous résigner à entendre quelques propositions que va, devant vous, risquer sur la Danse un homme qui ne danse pas. »

C’est par cet avertissement scrupuleux et prudent que, le 5 mars 1936, à l’Université des Annales, Paul Valéry introduisait la conférence qu’il s’apprêtait à donner, intitulée « Philosophie de la danse ».

Danseuse voilée de Myrina – terre cuite – 150-100 av J C – Louvre

Quelques extraits de ce texte pour accompagner deux magnifiques moments trop brefs que proposent pour illustrer si justement le propos, en noir et blanc et au pied du mur, deux superbes prisonnières…

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Ophélie /7 –« Un chant mystérieux tobme des astres d’or »

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Ophélie /7

« Un chant mystérieux tombe des astres d’or »

 

Oui, 7 !

Cela suppose pertinemment que six billets déjà ont été consacrés à la belle et tragique Ophélie. Six rendez-vous, sur les pages de « Perles d’Orphée » dans les derniers mois de l’année 2014, avec la femme et le mythe…

Admirablement associées dans un court mais riche voyage théâtral, la poésie et la musique de notre XXIème siècle adolescent exhortent Ophélie à d’insoupçonnables et inoubliables confidences.
Barbara Hannigan est Ophélie…

 

Barbara Hannigan – Ophélie – « Let me tell you »

Écoute, écoute passant inconsolable !

Depuis cette brumeuse berge,

subtil et adamantin,

c’est l’envoûtant chant d’un départ,

d’une fée la grâce ultime.

« Un chant mystérieux tombe des astres d’or. »

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Les eaux de mon été -1/ Prologue

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Les eaux de mon été – 1/ Prologue

 

« Et nous avons fait de l’eau toute chose vivante. »

Coran (21-30)

Ah ! L’inégalable délice d’un verre d’eau fraîche quand l’herbe cuit sous le puissant soleil d’été ! L’exquise caresse d’une vague venue du bout de l’océan offrir à nos chevilles sa dernière seconde d’écume. La vivifiante grâce…

Souvenirs émus d’un voyage immobile avec quelques artistes, peintres, musiciens, cinéastes, danseurs et autres poètes, choisis entre tant d’autres si nombreux à avoir trempé leur sensibilité dans l’onde inspirante… 

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Les eaux de mon été -2/ Fontaine

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Les eaux de mon été -2/ Fontaine

« Moi, se dit le petit prince, si j’avais cinquante-trois minutes à dépenser, je marcherais tout doucement vers une fontaine... »

Saint-Exupéry – « Le Petit Prince » XXIII

Alisa Sadikova

Il faut bien moins de cinquante-trois minutes à cette princesse harpiste de grand talent pour nous éclabousser de son bonheur sur la margelle de sa fontaine !

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Les eaux de mon été -3/ Pianos mouillés

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Les eaux de mon été -3/ Pianos mouillés

« La musique de l’eau, est captée à la source même, si je puis dire au plus eau de l’eau, assurant le passage de l’onde liquide à l’onde sonore. »

Pierre Brunel

Claude Monet – Le bateau atelier – 1876

Et, depuis les hauteurs du clavier, l’eau perle, glisse, dégouline. Elle ruisselle au rythme facétieux de ses humeurs, s’amusant de sa propre fantaisie, simulant parfois gravité ou profondeur pour encore mieux surprendre. Elle joue à chatouiller le Dieu du fleuve, ainsi que le voulait Ravel.

Dans la tranquillité du soir, asservie aux extravagantes caresses des risées, la voici qui clapote et se trémousse dans les reflets polychromes de la moire dont Debussy la vêt.

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Les eaux de mon été -4/ La Seine a rencontré Paris

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Les eaux de mon été -4/ La Seine a rencontré Paris

Je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi
On s’aime comme ça, la Seine et moi…

Mathieu Chedid & Vanessa Paradis (« La Seine » 2011)

Crépuscule sur Notre-Dame de Paris – Photo : serialpictures.fr

Après avoir donné, pour parler de ce fleuve qu’il aimait tant, la parole à ces parisiens qui quotidiennement le côtoient, un enfant, « devineur de devinettes », une amoureuse, un pilote de remorqueur, à un passant guindé, « désabusé », qui ose traiter la Seine — crime de lèse-majesté — de « fleuve comme un autre », Jacques Prévert s’octroie la conclusion sur « sa petite rivière à [lui] » en une tendre tirade sur le ton gouailleur, entre deux gorgeons, d’un « seigneur des berges ».

Une bien sincère déclaration d’amour qui se prolonge à plaisir dans un court-métrage réalisé sur la Seine par Joris Ivens en 1957.

Le poème de Prévert est sublimé par la qualité des images en noir et blanc, par la complète adéquation de la musique avec l’époque et la diversité des situations offertes au regard. Et Serge Reggiani, au rythme assuré du remorqueur qui progresse sur le reflet des eaux, dit le poème…

La réussite est totale et l’émotion réelle, intacte malgré les rides, ou à cause d’elles peut-être.

Le jury du Festival de Cannes en 1958 ne s’était pas trompé en attribuant à ce film son Grand Prix du court-métrage.

« La Seine a rencontré Paris »

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Les eaux de mon été -5/ Le Cygne de Tuonela

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Les eaux de mon été -5/ Le Cygne de Tuonela

« Tuonela, le pays de la mort, l’enfer de la mythologie finnoise, est entouré par une grande rivière avec des eaux noires et un courant rapide sur lequel le Cygne de Tuonela flotte majestueusement, chantant. »

Sibélius (ou son éditeur) – Préface de la 1ère édition du « Cygne de Tuonela »

Akseli Gallen-Kallela – Keitele,1905 (National Gallery – Londres)

Quelle plus rafraîchissante fuite pouvais-je offrir cet été à ma rêverie, pour tenter d’échapper à l’horripilant tapage de la ville surchauffée, que cette divagation méditative sur les terres glaciales du Grand Nord, perdues entre l’impénétrable taïga et les eaux sépulcrales des « mille lacs » de Finlande ?

[…]

Sibélius, chantre musical de ce pays, propose au cor anglais le rôle du Cygne de la légende du Kalevala. 

Un sensible cinéaste a très opportunément fusionné  la magie de cette musique avec l’inégalable poésie des réalités de la nature…

Un enchantement !

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Les eaux de mon été -6/ Larmes, absolument !

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Les eaux de mon été -6/ Larmes, absolument !

« C’est tellement mystérieux le pays des larmes.« 

Saint-Exupéry – « Le Petit Prince »

Le GuerchinLes larmes de Saint-Pierre (détail) – Louvre

Jamais, heureux homme, ni la toute-puissance impitoyable du soleil, ni l’accablante tyrannie des cieux, n’auront…

¤

« Lasciami piangere » – Aria de Galsuinde extraite de l’opéra

« Fredegunda » composé par Reinhard Keiser en 1715

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Les eaux de mon été -7/ Gondola mia

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Les eaux de mon été -7/ Gondola mia

« En vérité, la gondole est faite au pied de Venise. Nées de l’onde, l’une et l’autre. […] Je ne m’endors point, je n’ai point d’appui sur cette paix frémissante. La gondole, tout de même, n’est qu’un petit cercueil sur la mer. J’ai la sécurité d’un danger que je souhaite : la certitude enfin d’avoir quitté le monde. La séduction la plus puissante de Venise se révèle : loin d’être le calme, c’est l’indifférence à tout ce qui n’est pas un grand sentiment. »
André Suarès – « Le voyage du Condottiere » – « Vers Venise – XXVI »

 

James Wilson MorriceGondolas – 1901 (Art Gallery of Ontario)

Une gondole à Venise : sans doute le seul point du monde depuis lequel on devient à la fois, en un unique regard, voyeur extasié des orgies paradisiaques où la lumière s’accouple avec l’air et l’onde, observateur désespéré de l’épaisse…

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Les eaux de mon été -8/ Au bord de l’eau

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Les eaux de mon été -8/ Au bord de l’eau

WhistlerVariations en violet et vert  (Musée d’Orsay)

[…]

« Au coin du feu », « sous les étoiles », « au clair de lune », « dès potron-minet » … Il y a des expressions circonstancielles, comme celles-ci, qui, me semble-t-il, se refusent à introduire toute évocation violente ou dramatique ; et…

[…]

« Au bord de l’eau » demande au temps une courte pause, un instant de paix loin des tracas du monde, pour, comme dit le poète, « sentir l’amour, devant tout ce qui passe, ne point passer ».

 

 

François Le Roux chante avec l’onctueuse profondeur de sa voix de baryton une mélodie de Gabriel Fauré, « Au bord de l’eau » inspirée par un poème de Sully Prudhomme. Courbet, De Vlaminck, Sisley, et quelques autres ont préféré leurs pinceaux pour accompagner cette évocation.

Le fringant Jean Gabin de 1936 chante, avec toute la troupe du film de Julien Duvivier, « La belle équipe », la chanson emblématique de ce célèbre mélodrame du cinéma français : « Quand on s’promène au bord de l’eau » 

Au bord de l’eau… une adresse pour le bonheur ?

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Les eaux de mon été -9/ Hymne à la Mer

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Les eaux de mon été -9/ Hymne à la Mer

[…]
Apaisé, je médite au bord du gouffre amer ;
J’aime ce bruit sauvage où l’infini commence ;
La nuit, j’entends les flots, les vents, les cieux, la mer ;
Je songe, évanoui dans cette plainte immense.

Victor Hugo – « Les quatre vents de l’esprit » XXXIII

Uehara KonenVague – 1910

A tout seigneur tout honneur ! C’est donc à toi, Mer, et à toi seule, source originelle unique de toutes les eaux, que ce dernier billet de la série « Les eaux de mon été » se devait de rendre hommage.

Cette révérence, je la souhaitais d’abord littéraire et poétique, mais quels mots, parmi ceux de « quelques marins qui se sont mis à écrire et de quelques écrivains qui surent naviguer »*, aurais-je dû choisir pour dresser ton portrait que chaque instant métamorphose ? Ceux de Melville embarqué sur le…

Je voulais également que cet hommage fût musical. Quelle musique alors pour accompagner ce poème enfiévré du jeune Borges, pour représenter les amplitudes…

Enfin fallait-il, pour que fût complète mon admirative évocation, que la couleur et les formes vinssent encore se mêler aux délices…

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Amour, danse et beauté… Et commutativement !

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Amour, danse et beauté… Et commutativement !

Il faut apprendre à être touché par la beauté, par un geste, un souffle, pas seulement par ce qui est dit et dans quelle langue, percevoir indépendamment de ce que l’on « sait. »

Pina Bausch

SpartacusAdagio (Anna Nikulina & Mikhaïl Lobukhin) – Bolchoï

— Transcendance de l’amour quand l’élégance de la musique fusionne dans l’harmonie d’un même élan la passion des corps et la profondeur des sentiments.

— Transcendance de la beauté quand l’amour se pare de l’éclat conjugué de deux étoiles : attraction gravitationnelle réciproque de la grâce pure et de la force maîtrisée.

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Une caresse de Cléopâtre… dans l’oreille !

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Une caresse de Cléopâtre… dans l’oreille !

« Sa beauté, considérée en elle-même, n’était pas, dit-on, incomparable au point de ravir d’étonnement et d’admiration dès le premier abord. Mais sa fréquentation avait tant d’attrait qu’il était impossible de lui résister. Les charmes de son visage, soutenus par les appâts de sa conversation et par toutes les grâces qui peuvent émaner du plus heureux caractère, laissaient de profondes blessures. Sa voix était d’une douceur extrême. »

Plutarque – – (« Vie d’Antoine » 27-2)

Cléopâtre VII – Altes Museum Berlin

Quelques considérations sur cette légendaire Reine d’Égypte que les historiens romains ont affublée de tous les vices jusqu’à en faire, bien malgré eux, un mythe inébranlable qui n’a cessé d’inspirer, entre autres artistes, les compositeurs et librettistes d’opéra.

Manière de faire la part belle à une jeune cantatrice à la voix d’or qui a décidé avec bonheur de redonner vie par le disque, et le temps d’une aria, aux « Cléopâtres » des opéras inconnus ou méconnus :

Regula Mühlemann

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Suis-je normal, Docteur ?

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Suis-je normal, Docteur ?

Je ne peux pas plus me passer de la musique de Jean-Sébastien Bach que je ne peux cesser de fréquenter le théâtre de Shakespeare.

— Suis-je normal, Docteur ?

Le plus souvent, lorsque je reviens d’un numineux voyage dans la lumière céleste, à califourchon sur la trompette d’un ange, auquel m’a invité le Cantor, c’est un personnage de Shakespeare qui m’accueille, l’espace d’un instant, sur le quai du retour.

— Suis-je normal, Docteur ?

[…]

Prendrez-vous votre diagnostic, cher Docteur, sans avoir rejoint un bref instant la joyeuse prière de ce chœur de Bach ? Sans avoir écouté le banquier Shylock, répondant au Marchand de Venise, brosser par quelques traits d’humour une caricature, hélas trop vraie, de ce que nous sommes ?  

— Suis-je normal, Docteur ?

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Schubert : La vie, la mort, la vie !

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Schubert : La vie, la mort, la vie !

« Face à la musique de Schubert, les larmes coulent sans questionner l’âme auparavant, puisqu’elle se précipite sur nous avec la force même de réalité, sans le détour de l’image. Nous pleurons, sans savoir pourquoi ; parce que nous ne sommes pas encore tels que cette musique nous promet d’être, mais seulement dans… »

Théodore Adorno

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Jamais, dans l’œuvre de Schubert, sa musique n’aura entretenu une aussi étroite proximité avec la mort que dans l’Andantino de la sonate pour piano N° 20 en La Majeur (D 959) et l’Adagio du Quintette avec deux violoncelles (D 956), tous deux composés dans les dernières semaines de sa courte existence.

« Berceuse de la douleur ».
C’est ainsi que Brahms avait surnommé le deuxième mouvement Andantino de la sonate N° 20 – D 959 en La majeur. Et l’on comprend pourquoi :

Les premières notes de l’Andantino entament un chant hypnotique, rythmé par le seul pas pesant, las et douloureux, du voyageur résigné. Poignant.
Rien ne semble bouger, pas même…

A propos du Quintette en Ut à deux violoncelles, le grand pianiste viennois, Paul Badura-Skoda, écrit en 2001 :

« Seul celui qui a entrevu l’autre rive du Styx, le fleuve qui enserre le royaume des morts, peut créer une œuvre d’une telle portée. »

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